
Fadila Khattabi Origine Parents – La Française Fadila Khattabi est députée. Ses affiliations politiques l’ont conduite du Parti socialiste à La République en marche. De 2004 à 2015, elle a été conseillère régionale de Bourgogne ; de 2010 à 2015, elle a été vice-présidente du conseil régional ; depuis le 21 juin 2017, elle est vice-présidente de la troisième circonscription de la Côte d’Or ; et depuis le 22 juillet 2020, elle est présidente de la commission des questions sociales. Elle succède à Geneviève Dariusz au poste de ministre des Personnes handicapées le 20 juillet 2023, sous la tutelle d’Aurore Berge, ministre des Solidarités et de la Famille.
D’où vient Fadila Khattabi ?
L’identité et les professions des parents de Fadila Khattabi font actuellement l’objet d’une enquête. L’identité et les professions de ses frères et sœurs font actuellement l’objet d’une enquête. Elle est née en Algérie de parents qui y ont émigré. Elle n’a pas parlé de sa famille dans des interviews ou sur les réseaux sociaux. Si de nouvelles informations deviennent disponibles, elles seront ajoutées à cet article.
Âge et Wikidata de Fadila Khattabi
Fadila Khattabi est venue au monde le 23 février 1962 dans la ville française de Montbéliard. En 2023, elle aura 61 ans. Elle est du signe d’eau Poissons. Son éducation est vaste. C’est à l’Université de Bourgogne qu’elle a obtenu son diplôme. Elle est allée à l’Université de Dijon pour se spécialiser en anglais et y a finalement enseigné la langue.
Elle n’a donné aux médias ou aux médias sociaux aucun aperçu de son éducation ou de sa vie personnelle. Cet article est souvent mis à jour au fur et à mesure que de nouveaux détails sur ce sujet apparaissent. La légalité du mariage de Fadila Khattabi fait l’objet d’une enquête. Elle a été très privée au sujet de sa vie amoureuse, n’en discutant pas avec la presse et ne publiant aucun détail en ligne. Si de nouvelles informations deviennent disponibles, elles seront ajoutées à cet article.
Richesse estimée de Fadila Khattabi en 2023
Internet est muet au sujet de la richesse de Fadila Khattabi. Si de nouvelles informations deviennent disponibles, elles seront ajoutées à cet article.
La nationalité et l’ethnicité de Fadila Khattabi
Fadila Khattabi est une ressortissante française d’origine ethnique indéterminée ou inconnue. Fadila Khattabi, en campagne sous la bannière de la République, a été élue en mars députée de la troisième circonscription de Côte d’Or. TSA et ses chemins croisés dans la Ville Lumière. Parfois, la vue d’ensemble masque les détails. Fadila Khattabi, née en France (à Montbéliard) de parents algériens avant l’indépendance, a renoncé à sa nationalité française le 3 juillet 1962 au profit de la nationalité algérienne.
Devenue adulte, elle prend la décision de recouvrer sa nationalité française. Même si elle a toujours vécu en France, elle peut s’inquiéter de la façon dont ses parents réagiraient à sa décision de renoncer à leur citoyenneté américaine et de revenir à leur héritage français. Elle nous confie ce matin de septembre dans son bureau à l’Assemblée nationale que ses frères et sœurs auront la vie plus facile car “ils sont nés après 1962”.
La double identité de Fadila Khattabi avec une Algérie toujours présente, qu’elle embrasse, l’oblige à fournir de fréquentes justifications de ses actes. Bien sûr, c’est frustrant. J’accepte qui je suis, mais j’aimerais que les gens arrêtent de me rappeler mes vies passées. Que je sois né d’une mère et d’un père est le seul et unique fait absolu de mes origines. La nouvelle législatrice a déclaré qu’elle ne cherchait “ni la stigmatisation ni la victimisation”.
15 ans d’expérience, pour être exact
Bien qu’élue seulement depuis juin 2017, Fadila Khattabi n’est pas étrangère à la politique. Il n’était pas non plus un étranger dans son propre pays. Elue pour la première fois au conseil régional de Bourgogne en 2004, elle en a été la vice-présidente socialiste chargée de l’éducation et de la formation jusqu’en 2015. Pourtant, cette professeur d’anglais et mère de deux enfants ne correspond pas, selon ses propres mots, au stéréotype de l’activiste politique.
La jeune femme a travaillé comme assistante de français à Manchester pendant un an après avoir étudié l’anglais à l’université de Dijon avant de décrocher un poste d’enseignante dans une école privée de Belfort. Puis à 30 ans, vous décidez de faire un 180. Du fait de ses prouesses linguistiques, il est aujourd’hui responsable commercial export en formation. Elle a trouvé du travail en Espagne après y avoir terminé ses études.
L’arrivée de son fils a cependant bouleversé ses projets professionnels. Il peut être difficile de concilier maternité, carrière et responsabilités familiales. Il aurait été difficile de faire ce travail s’il nécessitait des déplacements. C’est pourquoi j’ai décidé de devenir enseignant. Elle enseigne depuis un quart de siècle les élèves du CFA (Centre de Formation des Apprentis) de La Noue, non loin de Dijon.
Cependant, elle a dû accepter une réduction de salaire lorsqu’elle a été promue députée. Lorsque le candidat du Front national Jean-Marie Le Pen s’est qualifié pour le second tour de l’élection présidentielle d’avril 2002, un vent politique a tourné. Rétrospectivement, elle appelle cela “une sorte de choc électrique” (15 ans plus tard). Quand je grandissais, je m’inquiétais que mon pays avait perdu contact avec son passé.
Quelques semaines plus tard, elle participe à la campagne populaire de Claude Darciaux, le candidat socialiste de sa circonscription aux prochaines élections législatives. Puis, en 2003, il ou elle rejoint le Parti socialiste. L’année suivante, elle se présente et remporte un siège au conseil régional.
Fenêtre de retrait
Fadila Khattabi devait être tête de liste pour les élections régionales de décembre 2005, mais elle a été rétrogradée à la sixième place des listes après avoir été victime d’un coup politique en octobre 2015. Une parodie pour celle dont le mandat de présidente du Conseil régional a été salué tant par les conservateurs que par les libéraux. Il est temps d’agir. Nous ne devons pas tout prendre pour argent comptant.
Mais si nous ne le faisons pas, quel genre d’exemple donnons-nous à nos enfants ? Cette femme, qui est mère de deux enfants, se demande. Elle quitte brutalement le PS en octobre 2015. Le processus de « se reconstruire, avec sa famille » lui prend quelques mois. Pendant cette période d’isolement politique, elle a pu voir Emmanuel Macron monter en puissance. L’actuel et unique ministre de l’Économie a lancé son mouvement politique en avril 2016.
Les mois suivants ont bouleversé les prévisions pour l’élection de 2017. Fadila Khattabi a décidé de rejoindre En Marche, le mouvement d’Emmanuel Macron, après avoir vu les primaires de droite “avec Fillon” et de gauche “avec Hamon qui promet la lune” échouer lamentablement. Je me suis dit: “Si quelqu’un pouvait faire quelque chose à ce sujet, ce serait Macron”, quand j’ai vu ce qui se passait.
En 2017, Fadila Khattabi fera son retour en politique après une brève retraite. La politique est intéressante, dit-elle avec un sourire narquois, mais il est facile de s’y laisser prendre. L’ancien conseiller régional est désormais candidat à la députation et fait le tour en camping-car. Elle fait face à un groupe d’opposants surpeuplés dans un quartier généralement remporté par la gauche.
Aux prochaines élections législatives de juin, elle battra facilement le candidat FN, Jean-François Bathelier, et sera élue avec plus de 65 % des suffrages. Un triomphe qu’elle attribue à “la dynamique Macron” et à “son travail” en Bourgogne. Fadila Khattabi fait l’éloge d’Emmanuel Macron, l’appelant “l’homme brillant” qui a choisi “des ministres compétents et pointus” quatre mois après le début de son mandat de cinq ans.
La veille de notre rencontre, le président français avait prononcé son premier discours devant l’Assemblée générale des Nations unies à New York. L’élu de la République rappelle “l’excellent discours” tenu par l’actuel occupant de l’Élysée et revient sur le “quel contraste avec Trump” qu’il présente.
Même à l’époque où il n’était qu’un candidat, ce qui semble il y a une éternité maintenant, le même Emmanuel Macron attirait l’attention. Le sujet douloureux et controversé du colonialisme a été remis sur le devant de la scène en février 2017 après qu’une interview de la chaîne privée Echourouk News s’est transformée en drame national. Nous avons une vraie histoire commune et il faut, à un moment donné, savoir tourner la page, et avancer », déclare Fadila Khattabi à propos du sujet de l’Algérie et de la France qui s’en éloignent.
À l’heure actuelle, seuls neuf députés d’origine arabe ont été réélus à l’Assemblée nationale française (Parlement) lors des dernières élections législatives. La majorité de ces législateurs sont des femmes et des membres de l’alliance “Ensemble” qui soutient le président français Emmanuel Macron. Ce nombre illustre la baisse des députés d’origine arabe au Parlement français de 13 en 2017 à 9 dans la session législative en cours.
La population arabe et musulmane en France dépasse les cinq millions, ce qui représente un pourcentage important de la population totale du pays. Ainsi, les Arabes représentent 8% de la population totale de la France, qui devrait atteindre 67 millions d’ici 2020, selon de nouvelles données d’un groupe de réflexion régional. Un bref aperçu de l’histoire de ces législateurs, de leurs principales tendances politiques et des principales causes et problèmes est fourni ci-dessous.
Laqila, Mohamed
Mohamed Laqhila, un Français d’origine marocaine, a été réélu au Parlement lors des élections de 2018 après avoir été initialement élu en 2017. Laqhila, qui est né dans la ville marocaine d’Oulmès, est un partisan de la coalition “Ensemble” favorisée par le président français. Laqhila est d’accord avec les politiques du parti de Macron, notamment celles qui défendent les idéaux fondateurs de la République et renforcent les institutions démocratiques.
De parents algériens, la femme politique française Fadila Khattabi est née à Montpellier. En 2017, Khattabi a été élu pour représenter le parti de Macron à la Chambre des représentants. Depuis l’année 2020, elle dirige la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale tout en étant également présidente du groupe d’amitié France-Algérie. Elle a été membre du Parti socialiste jusqu’en 2017, date à laquelle elle a fait défection au parti “La République en marche” du président Macron.

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